Le SNDGCT a publié les conclusions de son étude approfondie sur la mise en place de la semaine en 4 jours dans les collectivités. Menée avec de nombreux dirigeants de collectivités membres du SNDGCT et complétée par l’expérience de 18 collectivités ayant expérimenté, ou non, cette nouvelle organisation, elle met en lumière les avantages potentiels, mais aussi les défis et points de vigilance à considérer.
Un premier constat : si la semaine en 4 jours est un levier d’attractivité pour les collectivités territoriales, elle nécessite une réponse adaptée aux spécificités de chaque territoire.
Contrairement au secteur privé, les collectivités territoriales doivent composer avec un contingent d’heures incompressible de 1 607 heures par an. La semaine en 4 jours ne peut donc pas s'accompagner d'une réduction du temps de travail. Dans ce contexte particulier, comment concilier l'attrait de la semaine en 4 jours pour les agents, perçue comme un facteur d'amélioration des conditions de travail, avec les impératifs de service public et les multiples modalités d'aménagement du temps de travail existantes (télétravail, temps partiel, mi-temps thérapeutique, etc.) ?
Prenez connaissance de l'étude complète en cliquant ICI
Contrairement au secteur privé, les collectivités territoriales doivent composer avec un contingent d’heures incompressible de 1 607 heures par an. La semaine en 4 jours ne peut donc pas s'accompagner d'une réduction du temps de travail. Dans ce contexte particulier, comment concilier l'attrait de la semaine en 4 jours pour les agents, perçue comme un facteur d'amélioration des conditions de travail, avec les impératifs de service public et les multiples modalités d'aménagement du temps de travail existantes (télétravail, temps partiel, mi-temps thérapeutique, etc.) ?
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